Début de ce mois de juin, la compagnie pétrolière Britannique British Petroleum (BP) faisait savoir qu’elle a décidé de rompre son contrat avec l’Algérie. Ainsi, après Philips, pourtant implanté depuis 57 ans en Algérie, voilà qu’un autre groupe international jette l’éponge et envisage de nouveaux projets dans un autre environnement.

Officiellement, le PDG de SONATRACH, Toufik Hakkar, a déclaré ce mardi 29 juin que le départ de BP d’Algérie était dû « au déplacement de son activité vers les énergies renouvelables ».
Rappelons qu’au début de ce mois, les négociations on été effectuées avec le géant britannique British Petroleum (BP) qui s’apprête à céder ses actifs en Algérie au Groupe Italien « ENI ».
Évoquant le sujet, l’agence Reuter dont la dépêche a été rapporté par le site Algérie Eco indiquait le 3 juin que BP envisagerait « une vente pure et simple » à ENI avec « une possible participation » dans les actifs d’Eni ailleurs, notamment dans « le développement phare du gaz naturel liquéfié au Mozambique ».
Rappelons que c’est la société Philips Healthcare, société spécialisée dans l’équipement en imagerie médicale (équipements présents dans le secteur hospitalier et privé), présente en Algérie depuis 1957 qui avait annoncé son départ sans même informer les structures de santé et établissements sanitaires du pays….
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