« L’Algérie est-elle stérile au point d’importer un texte pour le proposer à l’examen du BEM ? ».
C’est ce que pose comme question, Boualem Amoura, SG du Satef (Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation), suite au scandale d’un texte proposé pour l’examen de langue arabe pour l’examen du BEM qui a débuté hier mardi 15 juin. En cause, le sujet soumis aux élèves porte sur « la menace que peuvent constituer les réseaux sociaux sur la cohésion et des constantes nationales ».
Ainsi, à l’image de la pauvreté dont souffre cette langue, les auteurs arabophones algériens du sujet n’ont pas été capables de produire un simple texte en arabe. Ils se sont, ainsi, contentés selon ce que rapporte le site TSA, dans son édition de ce mercredi 16 juin, de copier et proposer « un texte tiré du programme du… ministère palestinien de l’Éducation, daté de février 2020 ! »
« Preuve en est que cette langue ne produit que des paresseux. Une institution de l’éducation, des professeurs, des douktours… pas foutus de produire un texte d’examen ! », commente une internaute.
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