Dans son édition de ce lundi 24 mai, le quotidien Liberté nous rapporte une photo du barrage de Beni Amrane de Boumerdes (une retenu d’eau potable) qui met en relief de le manque d’anticipation des responsables en poste qui au lieu d’investir dans les stations de dessalement d’eau de mer préfèrent attendre la sécheresse pour appeler à la prières de la pluie….
Le quotidien écrit : » le stress hydrique est bien là. Ce n’est pas encore la sécheresse, mais l’été risque “d’évaporer” davantage les barrages et d’assécher les robinets. L’exemple nous vient de ce barrage (retenue) de Beni Amrane (wilaya de Boumerdès), où le volume sec est plus important que celui de l’eau ».
La rédaction vous conseille :
L’Arabie Saoudite laisse “Salat Istiskaa” à l’Algérie et investie dans “La pluie artificielle” !
Laisser un commentaire