
« Sur 800 manifestants pacifiques interpellés à la 118e marche du Hirak, près de 40 personnes ont été mise en garde dont une dizaine de femme ».
C’est ce qu’indique Said Salhi, vice-président de la ligue algérienne pour la défense les droits de l’homme (LADDH).
Une vague d’arrestation qui n’aurait pas pu se faire si le nombre de manifestants n’était pas en chute libre depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois. En cause, selon les observateurs : la tournure islamiste qu’ont prises les manifestations. Un constat déjà relevé par de nombreux observateurs dont Ma Revue De Presse DZ dés les premières semaines du Hirak.
« Une fin tragique et prévisible«
Dans ce qui suit quelques photos ayant fortement refroidi la ferveur populaire pour ce qui devait être à partir du 22 février 2019, un espoir de changement, mais que les élites issus du Hirak ont voulu confier aux bourreaux des algériens d’hier… « Une tragique et prévisible fin, commentent certains internautes.
Une manifestation récente à Alger lors du Hirak au cri de :« Laissez Ali Benhadj ( Numéro 2 du parti extrémiste FIS) faire ses prières ! ».