Novembre 2020, des appels aux boycott de la France et des produits français ont été lancés dans plusieurs pays arabo-musulmans et musulmans installés en famille en France et son système envié de par le monde. Une campagne baignée dans une ferveur religieuse qui faisait « craindre » une exode massive de musulmans de ce pays aux valeurs laïques et chrétiennes vers leur pays d’origine.
5 mois après, plusieurs sites spécialisés relayent le chiffre du nombre de musulmans ayant définitivement coupé les ponts avec le pays du « Mariage pour tous ».
Selon des sources médiatiques, aucune demande d’abandon de la nationalité française n’a été enregistrée. Ainsi, les 10 à 15 millions de musulmans ayant fui leur pays musulman pour s’installer en France n’ont pas émis de vœux de restituer la nationalité française. Paradoxalement, la France continue même de compter le plus grand nombre de demandes de visas et de naturalisation dans la zone UE de personne fuyant leur pays dans lequel ils ont largement contribuer à créé l’environnement ultra religieux qu’ils fuient aujourd’hui et en masse.
Pour ne citer qu’un exemple : En Algérie, dans les plages publiques les gens se baignent avec leurs vêtements parce que, disent-ils, ce sont là les valeurs de l’islam. On y compte à peine une dizaine de salles de cinéma et les activités culturelles sont souvent, voire toujours sujets à des polémiques, injures, appels au boycott, quand des menaces ne sont pas propagées via les réseaux sociaux….
En pleine campagne de boycott…
En pleine campagne de boycott l’écrivain et militant politique marocain, Ahmed Assid répondait à un post passionné d’un musulman de France.
Le boycotteur écrit : « Je suis français d’origine et je boycotte les produits français. Je le dis en directe de Paris. »
Ce à quoi le professeur Assid répond : « Les peuples islamiques ont besoin de créer une rupture avec l’ignorance avant de parler du boycott. »
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