Naima Salhi, la présidente du Parti El Adel wa El Bayen annonce sur sa page facebook son retrait de la vie politique. Elle affirme que le moment est venu pour quitter la scène politique et se consacrer à la vie familiale. La grâce d’Allah et la retraite à laquelle, elle ouvre droit, de 30 millions (15 SMIG) devrait l’y aider.
« En tant que femme musulmane, je reviens à ma première nature : La reine du foyer. J’ai commencé à militer à 20 ans. Après avoir participé grandement à la conscientisation du peuple, le moment est venu pour rentrer chez moi’’, a-t-elle écrit avant de souhaiter de passer le flambeau à ceux qui ne trahissent pas.
Députée élue dans la circonscription de Boumerdes, cette politicienne est connue par ses discours haineux et racistes envers les Kabyles. Plusieurs avocats ont tenté de la poursuivre, mais la Justice algérienne a toujours refusé d’entamer une procédure de destitution, ni d’ouvrir la moindre information judiciaire.
Ainsi, en quittant la scéne politique, cette islamiste, comme beaucoup avant elle, aura utilisé l’islam comme une véritable arme de haine et de propagande raciste, Elle laisse derrière elle des milliers d’algériens, notamment parmi les jeunes, qui non seulement portent en eux une haine incommensurable envers la politique, mais surtout envers la religion musulmane. Jamais des algériens ne se seront autant rebellé contre cette religion que depuis l’apparition de cette génération de politiciens très portés sur le discours religieux pour justifier, insultes et propos haineux. En témoigne le nombre impressionnant de pages et de propos islamophobes sur les réseaux sociaux algériens.
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Voilà pardi…un pays qui marche sur la tête🤣