Une démonstration de l’absurde choix du régime algérien de mêler religion à tout et notamment à la Politique, l’École, la Culture, la Science…
Ainsi, plus préoccupée par les composants du vaccin qu’ils devront s’inoculer pour se prémunir et prémunir leurs proches du danger du COVID-19, une frange de la société plus sujet à la religiosité que par la survie demandent si le vaccin est « Hallal ».
Une question des plus délicate si on considère les enjeux financiers, scientifiques et technologiques qui ne permettent en aucun cas de dévoiler un secret de fabrication, mais qui échappent totalement à ceux qui n’ont d’yeux que pour ce qui peut être expliqué religieusement.
Embarrassé, et sachant que c’est sans espoir que d’essayer d’expliquer la chose sous cet angle, les autorités ont dû improviser une réponse. Et c’est le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du Coronavirus, Dr. Djamel Fourar qui s’y est collé.
Ce dernier a tout simplement assuré que le vaccin est « Hallal ». Voilà.
Une réponse qui ne semble pas avoir convaincu, notamment sur internet, tant, il n’a fourni aucune preuves que ce vaccin ne continent pas de particules ou de gélatine de porc, d’alcool ou une quelconque molécule d’ADN mécréante…
Dans un commentaire, un internaute pose une question : « Pourquoi les musulmans ne fabriquent pas leur propre vaccin pour être sur qu’il est Hallal ? »
Ils n’ont qu’à faire leur vaccin halal à la pisse de chameau de se le foutre là où je pense…mais laissez les mécréants désireux de se faire vacciner….avec les vaccins des kouffars