« Toutes les investigations menées sur les avoirs de l’ex-ministre de l’Industrie, Abdesseleme Bouchouareb, en France ont été vouées à l’échec ».
C’est ce que rapporte le quotidien Le Soir d’Algérie dans son édition de, ce lundi 11 janvier, évoquant des sources proche du dossier. « Il a très vite réagi à la nouvelle situation et a liquidé tous ses biens », affirme cette source.
Ainsi, des États, où les prévenus sont soupçonnés de détenir des biens immobiliers achetés avec un argent issu de la corruption ont été visités par plusieurs commissions d’enquête.
Dans son article le quotidien relève que la lenteur des procédures et les mois d’attente du retour des éléments demandés par les magistrats instructeurs, ont permis à plusieurs oligarques, hommes d’affaires comme hauts fonctionnaires de l’état corrompus de liquider leurs avoirs dans les pays où ils résident.
Tous les anciens ministres et hommes d’affaires poursuivis pour corruption ont été ciblés par cette procédure, affirme la même source, et les résultats varient naturellement d’une catégorie à l’autre.
À leur retour, les commissions rogatoires ont présenté des rapports qui ont établi l’existence d’une nette différence entre les avoirs (biens immobiliers et sociétés) de la plupart des hommes d’affaires et les ex-ministres « au sujet desquels très peu de choses ont été trouvées ».
Lire aussi :
Laisser un commentaire