La classe politique algérienne et le mouvement islamistes en particulier n’a pas manqué de fustiger le Maroc suite à sa décision de tisser des relations avec Israël. Le footballeur algérien, Hichem Boudaoui n’a pas échappé à ces mêmes types d’attaques émanent de ce même mouvement islamiste algérien après son déplacement à Tel Aviv avec son club.
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Pourtant, notent les observateurs, l’annonce du rapprochement entre les émirats-arabes-unis en aout 2020, n’avaient pas soulevé autant d’émoi.
Ils s’ »attaquent au Maroc et Boudaoui et épargnent les Emirats »
Un décryptage pour le moins intéressant nous a été fourni par le site DIA dans son édition du 13 décembre.
Le site écrit que « du président du MSP, Abderezak Makri au président du Mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, en passant par le président de l’Association des Ouléma algériens, Abderezak Guessoum, le Maroc a été épinglé et une féroce campagne a été menée à l’encontre du pauvre Boudaoui, dont la famille est stigmatisée à Béchar ».
Et pour cause. Le site indique que « Les partis islamistes sont gênés de dénoncer la normalisation israélo-émiratie en raison, des relations privilégiées qu’ils entretiennent avec les Émirats ».
Et d’ajouter que « les autorités des Emirats ont accordé des facilitations à des commerçants et hommes d’affaires algériens, souvent proches de la mouvance islamiste ». Cette mouvance compte de « nombreux hommes d’affaires et des commerçants vivant entre Alger et Dubaï où ils gèrent des commerces et disposent de résidences ».
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