Lâchetés ordinaires / Par Maamar Farah
À ces journaux qui surveillent les écrits de Kamel Daoud comme le lait sur le feu, il serait utile de rappeler que, quand le journaliste du Quotidien d’Oran étrillait Bouteflika et sa bande, ces feuilles de choux les glorifiaient de la manière la plus vile !
Kamel Daoud est un frère de combat. Je ne suis pas d’accord avec lui sur la laïcité en Algérie, mais je répète qu’il est libre et sa liberté a une histoire dans ce pays. Les retournements de veste aussi !
Maamar Farah, Le 4 Juin 2020
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