Dans son édition de ce jeudi 16 janvier, ALG24 rapporte les détails d’une autre affaire sur laquelle devra bientôt répondre devant la justice l’ex-ministre de l’Industrie du gouvernement Bedoui, Djamila Tamazight.
Ce scandale remonte à la période où elle fut nommée PDG du Groupe public AGRO industrie « AGRODIV ». Et ce par la grâce de son ami et proche de toujours, l’ex-ministre de l’Industrie, Abdesselem Bouchouareb (aujourd’hui ne fuite en France).
Ainsi, à peine a-t-elle pris ses fonctions, qu’elle entreprend de porter son salaire de 25 à 35 Millions par mois (seuil maximal accordé par la réglementation).
Ce qui selon le PV d’AGO daté du 10 septembre 2018 établi par le groupe AGRODIV et signé par le directeur de l’administration général « H.M », a fait bénéficier Djamila Tamazirt de 191 Millions de surplus de salaire. Elle s’attribuera également la coquette somme de 618,467 Millions en primes diverses, selon un autre PV daté de Avril 2019.
Selon un autre document révélé par la même source, Djamila Tmazirt s’accordera une prime particulièrement scandaleuse consistant en une prime de logement estimée à 5 millions. Ce qui est en totale infraction d’une note gouvernementale qui n’accorde cette prime qu’aux responsables habitants à une distance égale ou plus de 50 km.
Ainsi, en prenant son départ de cet établissement pour rejoindre le poste de ministre de l’Industrie auquel elle a été nommé par Bedoui, Djamila Tamazirt quittera ses fonctions avec la coquette somme de plus de 800 millions de centimes en primes et surplus de salaire…
Rappelons enfin que Djamila Tamazirt a été placée il y’a quelques jours sous interdiction de sortir du territoire national (ISTN) et a été convoquée par la section de recherche de la Gendarmerie nationale de Bab Jdid pour une enquête préliminaire.
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