« Monsieur Bouchouareb est interné dans un hôpital psychiatrique où il se fait soigner ». C’est ce qu’affirmait l’avocat de l-ex Ministre de l’Industrie, Abdesselem Bouchouareb au juge instructeur de la Cour suprême pour expliquer pourquoi il n’avait pas répondu à sa convocation.
Un mensonge, un autre, à mettre au crédit de celui qui fait face à des poursuites dans « des affaires d’octroi d’indus avantages, violation de la loi, dilapidation de deniers publics, corruption et abus de pouvoir et de fonction ». Ne s’étant pas présenté à l’audience un mandat d’arrêt international avait été émis à son encontre au courant du mois de juin.
Là-bas, entre les Champs-Élysées et la rue du Faubourg-Saint-Honoré…
Dans son édition de ce jeudi 29 août, le site Algérie Part rapporte que celui qui aura ruiné l’industrie Algérienne, n’est absolument pas interné dans un hôpital. Bien au contraire, il continue le plus normalement du monde son « train de vie princier » à Paris en France.
Abdesselem Bouchouareb s’est, en fait, installé en location dans un luxueux appartement situé dans une rue très chic nichée à Paris entre les Champs-Élysées et la rue du Faubourg-Saint-Honoré.

Ainsi, selon le site, l’ex-ministre de l’Industrie loge depuis plusieurs semaines dans cet appartement luxueux d’une superficie de 45 mètres carrés pour échapper aux curieux et indiscrets qui seraient tentés de roder autour de ses anciennes demeures dont les adresses ont été rendues publiques lors des révélations de plusieurs médias algériens et français à propos des biens des dirigeants algériens mal-acquis en France.
Le Rappel…
Lire la suite :
Laisser un commentaire