Cet homme d’affaires est candidat à la construction de la future raffinerie de Hassi-Messaoud, un projet de près de 5 milliards de Dollars. Egalement dans ses petits papiers, la jetée du Port de Skikda, un chantier dépassant les 300 millions de dollars.
Mais plus que tout, Abdelhakim Benferhat est l’heureux mari de la fille du Général Toufik et le Fils d’un ancien puissant officier du DRS, Nourredine Benferhat.
Bien qu’il soit accusé de transférer illégalement des fonds du Liban vers Hong Kong avec la complicité de son associé Nacim Ould Kaddour, le fils de l’ancien PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, l’heureux fils et époux ne semble pas inquiété par le Tsunami judiciaire qui frappe l’oligarchie Bouteflékienne. Il mène même une vie tranquille dans un quartier résidentiel d’Alger.
A quoi est due cette impunité ?
Selon le site Mondafrique qui rapporte l’information ce mardi 25 juin, deux raison à cette impunité :
- 1 – Bien qu’à la retraite, le papa aurait occupé des postes qui lui permettraient de livrer un bon nombre de secrets de fabrication du régime si son fils était mis en cause.
- 2- Il est difficile pour les nouveaux maîtres de l’Algérie, confrontés à une situation économique désastreuse, de se brouiller avec l’ensemble des opérateurs économiques internationaux. D’autant que ce monsieur est le représentant dans le secteur pétrolier de plusieurs compagnies sud-coréennes comme Samsung Engineering ou Hyundai Engineering & Construction. Deux géants sud-coréens qui pèsent lourd.
Selon le site, l’institution militaire qui a lancé des centaines de procédures judiciaires à travers toute l’Algérie contre des hauts gradés, d’anciens ministres en vue et de puissants oligarques, cherche à ne pas ouvrir trop de fronts à la fois.
La justice algérienne privilégie ainsi les mises en cause de personnalités, dont celles du général Toufik, qui ont pu mettre en cause la sécurité de l’Etat et de l’armée. Elle sait en revanche fermer les yeux sur des dossiers jugés plus secondaires de corruption ordinaire.
Ainsi, « compte tenu des malversations qui ont touché sous la présidence d’Abdelaziz Bouteflika la plupart des décideurs algériens, une telle prudence s’impose en effet si l’on ne veut pas placer en détention la presque totalité des élites économiques algériennes », estiment les experts.
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Tu veux ajouter qqc??
comment contacter la personne qui a fait cet article? merci
A la guillotine oui
Moi je pense il faudrait prendre la décision de tout nationalisé, tout les industriels en des crédits de centaines de milliards, des villes en Espagne, en france ,en angleterre au Paraguay tout est à l’état des voitures de 1milliard leurs enfants c’est des bosses ou vas l’algerie avec cette maffia ?????
Du temps de boumediene ils seraient tous passé par Kharouba