« Quelle sinistre fin, pour une triste carrière de faire valoir »
Ferhat Ait Ali
L’expert Financier, Ferhat Ait Ali commentait vendredi la pathétique et cruelle pour tous, prestation du Chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, sous chimiothérapie, jeudi 6 juin… L’argent n’a décidément pas d’odeur pour ces gens…
El Mouradia, ou Amityville – La Maison du diable…
L’Image de Bensalah Hier pourrait dissuader Gais Salah ou un autre de s’incruster à El Mouradia, après trois petits mois, la malédiction du prince des ténèbres qui y a officié 20 ans frappe plus vite maintenant, tous les putschistes ou pantins.
Ce n’est plus une présidence, mais Amithyville, la maison du diable.
Osons espérer que cette Malédiction ne frappe que ceux qui à l’image de l’immortel innommable parmi ses affidés et sbires, oserons essayer d’ y entrer par effraction ou en la prenant d’assaut.
Ce pays a assez payé durant son histoire pour que des aventuriers ou des tares, confisquent son destin à chaque fois pour y promouvoir les bas instincts de la lie de la société qui les suit au pas, à l’affût d’un butin ou d’une nuisance.
Il est temps de construire un pays ou les meilleurs ne seront pas persécutés par les pires, et les bâtisseurs asservis par les pillards et les parasites. Et comme on reconnait la caravane à son arrière garde. On reconnait les guides à leurs clients. Et à voir les soutiens des uns, on peut sans les connaitre deviner ce qu’ils veulent et ce qu’ils valent.
Bensalah, n’a jamais su dire oui au peuple, ni non aux maîtres du moment, et à voir son état d’hier, ça ne valait pas la peine de faire tout ce chemin pour cette destination, ou même aux portes des ténèbres il ne peut pas dire non, pour partir au moins allégé d’un dernier fardeau.
Quelle sinistre fin, pour une triste carrière de faire valoir.
Certaines âmes partent avant les carcasses qui les logent, fortes elles font lire l’arrogance dans les yeux de leurs titulaires, à l’article de la mort on y lit la déchéance. Les âmes sereines donnent l’impression de dormir dans leur cercueil, les âmes damnées respirent la mort dans leur vêtements.
La Malédiction du sang des vrais, frappera les faux, même s’ils s’entourent de cohortes d’autres faux, qui les confortent dans le faux. Au point ou leur fin sera aussi tristement vraie, que toute leur vie a été une suite de faux et usage de faux.
Avis aux intéressés, et ils sont nombreux que la moisson du diable en âmes damnées.
– 1979 : Amityville, la maison du diable – Bande annonce –
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