La parole du Tawhid (unicité divine) écrit en blanc sur un fond noir. C’est ainsi qu’est dessiné le drapeau DAESH…
A Alger, les islamistes ont exhibé lors de cette 15e marche populaire pour dégager le Pouvoir, exactement le même drapeau en inversant les couleurs (Écriture en noir sur un fond blanc). Ils ont ainsi mis de coté l’emblème Palestinien derrière lequel ils se cachent quand ils ne veulent pas être visible pour sortir leur vrai drapeau.
Le Pouvoir Algérien comme tous les Pouvoirs arabo-musulmans et affilié sort sa carte maîtresse pour soumettre les contestataires : l’Islamisme.
Des activistes notent que certains marcheurs ont tenté de noyer leur chants issus du répertoire du FIS en scandant « Algérie libre et démocratique ». Mais ils n’étaient pas si nombreux que ça à oser défier ces chants qui résonnent comme des paroles sacrées.
Des femmes bien sur, noyau de la résistance algérienne et quelques jeunes qui les ont suivis. Mais pas si nombreux si on considère qu’il y’avait des dizaines de milliers de personnes contre une poignée d’islamistes.
Remake des années 90…
Il faut dire que l’amalgame entre religion et politique est travaillé dans les consciences dés le jeune âge. Depuis l’école jusqu’aux inscriptions religieuses sur les tableaux de bord des taxis, des bus, les murs des cafés et des administrations. La religion toujours présente partout, à tout moment. Une politique du Système Algérien qui lui a garanti le Pouvoir durant ce demi-siècle d’indépendance.
Dans les années 90, le pouvoir était allé jusqu’à donner un agrément aux islamistes du FIS pour qu’ils s’occupent de massacrer l’élite intellectuelle et politique qui menaçait son règne. Le pouvoir leur a même donné 10 ans pour faire le travail qu’il ne pouvait pas entreprendre lui-même. Le pari avait été gagnant : 10 ans après, toute l’élite a été massacrée ou poussée à l’exile. Les islamistes sont rentrés chez eux blanchis et enrichis. Et le pouvoir était encore là.
Photo TSA, Alger le 31 mai 2019
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Je me sens vide quand je parle d’islamisme. En 1991 j’avais 19 printemps hélas, les années qui suivèrent seront des années ténébreuses, ils ont assassinés 250000 algériens, confisqués et sacrifier notre jeunesse. Ils n’ont plus le droit même de chuchoter.
Les islamiste ne save pas diriger un pays ni meme une mosquée.il manque de maturité.ils son raciste.