« Il faut des années pour qu’une conscience politique telle qu’elle s’affirme en ce moment en Algérie prenne forme. Si le Régime ne tombe pas cette fois, si le peuple lâche l’affaire, il va se régénéré et continuera dans ses travers durant au moins 30 ans ! ».
C’est l’avertissement que lance l’avocat des causes perdues, militant des droits de l’homme Maître Salah Dabouz, et Membre fondateur du Syndicat Autonome des avocats en Algérie.
Son engagement pour les droits civiques lui ont valu plusieurs tentatives de déstabilisation par ceux-là mêmes qui n’envisage la gestion d’un Etat que par les dogmes et l’idéologie. Pour lui, un algériens quelques soit son ethnie ou sa religion a des droits en Algérie. « Tous sont algériens ! »
Quelqu’un a dit…
