Depuis hier jeudi 28 mars, Haddad a démissionné de son poste de président du FCE. Une bonne nouvelle pour un certains nombre d’Algériens. Mais pas pour tous. Trop facile de foutre le camp avec en poche pas moins de 2 milliards de dollars et pas de comptes à rendre.
C’est en tout cas ce que pense entre autres, l’Union National des Avocats. Cette dernières dans une réunion tenue ce vendredi 29 mars, appelle à ouvrir les dossiers de corruption et de dilapidation de deniers publics.
Ces deniers considèrent que la nouvelle Algérie ne doit plus fonctionner à coup de laxisme généralisé qui permet au tire-au-flanc des bidonvilles de bénéficier d’un logement au frais des impôts du couple qui a payé le sien et qu’il n’a toujours pas 18 ans après !
Une politique et une manière de gérer qui, en fait, sert plus le ponte du régime qui bénéficie du même traitement en dilapidant des milliards de dollars ! On pardonne et on tourne la page. Non, trop facile disent les juristes !
Haddad a juste fait son boulot d’homme d’affaires : Gagner de l’argent !
Ainsi, une certaine thèse veut que le businessman Haddad n’a fait que faire son métier, en l’occurrence : gagner de l’argent. Et il n’a fait que s’adapter à l’environnement des affaires du pays dans lequel il a eu à faire ses business. Un environnement poreux, pas gérés et gouverner par des médiocres et des corrompus. Pourquoi élaborer des business plan qui coutent des milliards quand on peut s’acheter une poignée de députés, quelques juges et un ou deux ministres ?
Une approche du sujet, pour le moins pertinente, d’autant que Haddad n’a aucun mandat du peuple. Sauf que personne ne parle de le mener en prison, mais juste qu’il rembourse.
La prison c’est pour les politiques et représentants du peuple (députés) corrompus qui se sont mis à vendre. Haddad a mis le prix, il leur a acheté un appartement, une auto et lui s’est payé un Jet et un empire immobilier en Espagne et au pays d’Elisabeth…
Dossier Haddad, non exhaustif…
Liste non exhaustive des affaires pour lesquelles devra répondre Haddad, ce symbole des nouveaux riches Algériens gavé par des représentants du peuple, à l’argent public par un système complètement corrompu et sclérosé !
- 2 milliards de dollars lui ont été accordé sous forme de crédit à l’investissement par crédit à l’investissement par le Crédit Populaire Algérien (CPA) et la Banque Extérieur d’Algérie (BEA) ?
- Et le dossier du Stade de Tizi Ouzou facturé deux fois plus cher que les stades de Turin et de Munich ?
- Et les malfaçons dans plusieurs de ses réalisations, comme le tronçon de route Azazga ?
- Et le dossier de financement de la campagne du Président français Emmanuel Macron avec l’argent des algériens ?
- Et Youcef Goucem…
Quelqu’un a dit…

Lire aussi : Le Nuremberg Algérien se prépare : Convoqué, Bouchouareb menace de tout dévoiler !