« Vous avez insisté par le passé sur la construction d’un État civil, pourquoi ? »
C’est l’incroyable question qu’a posé hier dimanche 24 mars le site TSA à l’une des figures phares de la corruption Bouteflikienne : Amar Saidani.
Ainsi, pour le site, cet ancien contrebandier ayant pris place au sommet du Parti de Aban Ramdan, désormais résident à Paris au 9/15 boulevard Victor Hugo, à Neuilly-sur-Seine, est l’initiateur de l’idée d’un « Etat Civil » en Algérie.
Mazette !
« J’ai insisté, c’est vrai, pour la construction de cet État civil. Parce que l’État actuel ne l’est pas», dit cet inculte qui n’a même pas son brevet du cycle moyen, toute honte bue.
La ruine du pays : Bouteflika et son personnel n’y sont pour rien : C’est la faute à l’ « Etat Profond » !
Plus loin, Saidani déclare : « Toutes les décisions, qui ont suscité les doutes des citoyens, sortaient sur ordre de l’État profond et de son représentant à la Présidence de la République (NDLR Ahmed Ouyahia) ».
Une autre hallucinante déclaration de ce misérable corrompu : tous les malheurs du pays ne seraient ni de la faute de Bouteflika, ni de l’incompétence de son personnel, ni de sa corruption.
Pour celui qui s’est tapé une résidence à 3 millions d’Euros en plein centre de Neuilly, la faute de la ruine du pays revient à un truc qu’il appelle « l’Etat Profond ».
« L’Etat profond », une entité ni quantifiable, sans visage, sans état civil et dont les membres sont inconnus.
En d’autres termes : Personne !
« Le langage politique est destiné à rendre vraisemblable les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent ».
George Orwell
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