La loi de finance a été votée. Et comme tout le monde sait : le budget du ministère des Moudjahidine pèse la bagatelle de 1 milliard d’Euros !
Le ministère des moudjahidine c’est connu, c’est cette espèce de conglomérat de types et de bonnes femmes qui parcequ’un jour ils ont tiré sur des soldats ennemis se sont attribués une caisse qui entretien leur train de vie, ceux de leurs rejetons et toute leur descendance ad vitam eternam. Cette caisse s’appelle : Ministère des Moudjahidines.
Des combattants, comme le sont des millions dans le monde qui ont pris les armes contre des ennemis à leur nation, mais qui une fois la guerre finie, sont tous retournés à leurs occupations. Chez ces gens on appelle ça : faire son devoir.
En Algérie, tirer sur des ennemis finit par conférer des compétences en gestion, en politique en management… Un genre de mercenaires, mais qu’on paye après.
Ce qui représente parfaitement ces combattants : leur ministre.
Un certain Mohamed Cherif Abbes. Un type qui a fait fortune en affichant durant des années sa haine contre le méchant colon français. Une animosité sans égale contre ce pays tortionnaire des algériens : La France.
Pourtant ce n’est pas dans son paisible et beau pays qu’il passe une retraite tranquille et mérité, non. Et ses enfants et petits enfants ne fréquentent pas l’école de « AL DJOUMHOURIYA …etc ».
C’est au 113 rue Nicolas Garnier, à villeurbanne. Une belle commune située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes, en … France.
Là, ce grand patriote algérien y possède un coquet ensemble immobilier composé d’une grande villa et d’un immeuble de 6 appartements mis en location. Le tout estimé à la toute aussi coquette somme de plus de 2 millions d’euros.
Et si ce très respectable monsieur s’en défend c’est que tout est au nom de sa fille aînée Mme Kababi. Une fille bien née puisque la république algérienne démocratique et populaire lui accorde un poste comme conseillère au consulat d’Algérie de Lyon et touche la bagatelle de 5000 euro par mois presque cinq fois le SMIC français.
Tout est bon dans le cochon, comme disent nos amis de l’Hexagone !
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