Fuite en avant. Médiocrité absolue. Certitudes absurdes. Amateurisme. Faux diagnostics. …etc. Il y’aurait au moins 2.7 millions de km2 d’adjectifs pour qualifier les propos du ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui tenus ce samedi 19 janvier à l’occasion de l’ouverture du Forum national sur le phénomène de « Harraga » qui se tient à Alger.
Ainsi, en Algérie nul besoin de chiffres, ni d’études, ni sociologues, ni d’anthropologues, ni et ni. Non. En Algérie quand vous êtes responsables quelque soit d’où vous débarquez, vous savez forcément tout sur tout sans passer par l’avis des spécialistes.
Bref, le ministre de l’intérieur par le simple fait qu’il est ministre de l’intérieur a expliqué à l’assemblée et aux téléspectateurs qui ont suivis son intervention le phénomène de la Haraga et ses causes. Pour lui, il en est certains : c’est la faute à Faceboook et aux chansons qui sèment le « désespoir ».
Je laisse le soin à Kamel Daoud de lui répondre.
Réponse ici
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