Des frères arabes, « ACHIKAA », veulent infiltrer des terroristes pour déstabiliser le Maghreb. C’est ce qu’a déclaré Hacène Kacimi, le directeur en charge de la migration au ministère de l’Intérieur, dont les propos ont été rapportés par TSA.
« La décision du gouvernement d’interdire l’accès à l’Algérie aux migrants arabes arrivant par le Niger et le Mali est irrévocable », a déclaré le responsable de l’Intérieur.
Rappelant que l’Algérie a accueilli jusqu’à présent plus de 50 000 Syriens pour des raisons humanitaires, le responsable a révélé que l’Algérie faisait face désormais à un nouveau phénomène : l’infiltration de migrants arabes venus de Syrie, du Yémen et de Palestine « par des canaux sous contrôle de groupes armés ».
Selon lui, ces migrants arabes traversent plusieurs pays tels que l’Egypte, la Turquie, le Soudan et la Mauritanie jusqu’au Niger et au Mali.
Indiquant ne pas vouloir porter d’accusations a priori, Hacène Kacimi a expliqué que l’Algérie était en droit de s’interroger sur le fait de savoir s’il s’agissait véritablement de migrants ou « de terroristes pénétrant en Algérie sous couverture humanitaire ». Pour lui, « il y a sûrement des parties occultes qui financent de telles norias terroristes ».
Corroborant ces propos, TSA Arabi rapporte également, de source sécuritaire, que « l’armée algérienne est confrontée à un nouveau défi, celui de l’infiltration de terroristes âgés de 20 à 30 ans, la plupart de nationalité syrienne ainsi que quelques éléments yéménites ».
Porteurs de faux papiers soudanais, « ces infiltrés viennent de la ville d’Alep, en Syrie, et ils sont poussés par des capitales arabes qui les encouragent à se déployer en Algérie dans le but de la déstabiliser », a précisé cette source.
la Ligue algérienne des droits de l’Homme (LADDH) a confirmé que 53 Palestiniens, 47 Syriens et 17 Yéménites ont été refoulés en décembre 2018 à partir du poste-frontière d’In Guezzam, au sud de Tamanrasset.
Le peuple attend la réplique de ses intellectuels :
Toute l’Algérie attend la réplique de l’élite politico-intellectuelle que l’Algérie paye en millions et à qui ce pays offre tous les privilèges. Les Algériens peuvent dormir tranquilles, avec des pointures et des matières grises de la trempe de Naima Salhi, Mohamed Benhamou, ou encore Halima Zidane, leur pays est entre de bonnes mains. Pas la peine donc de se mêler ce sujet qui arrive à point, à quelques mois des présidentielles. Si présidentielles, il y a.
Un petit souci cependant, le peuple devra attendre que Naima Salhi en est terminé avec les kabyles. Quand à Mohamed Benhamou, il faut demander aux autorités de lui donner sa part du butin que le pouvoir lui a promis pour service rendu.
Enfin, pour Halima Zidane, la députée de Chelef, avec son salaire de misère de 26 millions par mois et les extra, il faudra aussi faire un forcing pour qu’elle soit augmentée.
Finalement…
Une sacrée famille, ce monde dit « Arabe ». Malgré tous les efforts faits par l’Algérie depuis 56 ans, en abandonnant même son identité Africaine et Méditerranéenne, ce pays reste indésirable par les Arabes !
En même temps, qui peut leur en vouloir, un arabe a ses racines, sa culture, son identité. Il n’a nul besoin d’adopter un pays qui s’est auto-trahi. Les arabes en fin stratèges n’ont nul besoin d’un futur traître parmi eux !