La réponse ne s’est pas fait attendre. En réponse aux propos raciste de l’intelectuelle et députée Algérienne Naima Salhi qui refuse l’enseignement de la langue Amazigh. Suivie par certains établissements scolaires de l’Etat de l’enseigner dans certaines régions, notamment dans le Sud du pays.
La réponse logique et attendue prend son chemin : Refus de l’enseignement de la langue Arabe dans plusieurs lycées de Kabylie, mais aussi dans certaines régions des Aures.
«Journée sans langue arabe ni à l’école ni dans l’administration». C’est là, la première pancarte brandie par les élèves d’Ath Zmenzer, à Tizi Ouzou, d’où a été lancé le mouvement. Puis d’autres ont suivi : «Refusez tamazight, nous refuserons l’arabe !», lancent de leur coté les élèves du lycée Abderrahmane El-Illouli de Larbaâ Nath Irathen.
Au total, c’est environ une dizaine de lycées qui sont entrés en grève de langue Arabe pour suivre le mouvement de protestation lancé sur les réseaux sociaux. Parmi les régions qui boycottent l’enseignement de l’arabe : Tasaft Uguemoun, Tizi Ghennif, Freha, Maatkas, Makouda, Mekla, Djamaa Saharidj.
Ni KASSAMEN, NI INCHALLAH… en Kabylie c’est le Talion !
Eh oui, les islamistes qui vendent la langue Arabe comme étant la langue du paradis n’ont toujours pas compris qu’on ne peut pas dire à quelqu’un « INAAL WALDIK » et s’attendre à ce qu’il vous dise « YARHAM WALDIK ». Non, ce n’est pas tout à fait comme ça que ça se passe. Ça ne s’est jamais passé comme ça. Et ça ne se passera jamais comme ça. Et je n’utilise pas le mot « Inchallah », pour la simple raison que c’est la Loi du Talion est la seul qui vaille : « Œil pour œil, dent pour dent ».
Ce boycott pose une question : Que va devenir la langue Arabe en Algérie ?
Surtout que ce boycott émane des régions les plus performants en termes de résultats scolaires dans un pays totalement Arabisé. Oui, la Kabylie a les meilleurs résultats scolaires (Première place aux examens de 5e, BEM et BAC depuis 10 ans), alors que les études sont en arabes !
Un paradoxe et une réalité que refusent de voir ceux qui se sont arrogé le droit de faire la promotion de la langue de Quraych, alors même qu’ils sont les derniers à la maitriser.
Quelques écris Facebook du fer de lance de la langue arabe en Algérie, Naima Salhi
Il faut savoir que la députée Naima Salhi n’a jamais écris de textes de plus de 20 mots. Et dans ces 20 petits mots, bien qu’ils soient écris en lettres Arabes, elle n’arrive à s’exprimer presque exclusivement que dans un dialecte Algérien très brouillons, mais que ses fans semblent comprendre.
Quelques écris platoniciens, non exhaustifs, de l’intellectuelle Algérienne :
La députée Naima Salhi.