« Les algériens mettent Abou Hureira avant Allah ! ». Amin ZAOUI
Diagnostic imparable. Vrai.
Depuis des dizaines d’années maintenant, la technique est rodée. Imparable. Que ce soit le hidjab, la barbe, le kamis, la mosquée ou même la « Bligha » (claquette). Tout est assimilé à l’islam. Une attaque de l’islam. Fin de discussion.
Le but évidemment est simple : préserver les incohérences des rentiers de la religion en Algérie. Trop de questions pourraient les mettre à mal. Et donc : stopper toute tentative, même la plus infime d’ouvrir un débat qui pourrait aboutir à un autre puis à un autre…
Ces vendeurs de tickets pour le paradis ont bien travaillé. Aidé par le Régime qui leur a livré la populace. Un Win-Win stratégique entre les religieux et le pouvoir Algérien. Les religieux s’occupent de faire manger leur salade aux jeunes tout en les privant de libre arbitre, de faculté de réflexion. Fabricants de zombies aux ordres, demandant au cheikh la meilleure position à prendre sous la couette, plus communément appelés « croyants ».
Ainsi, le pouvoir qui a perdu le peuple, a créé les religieux dévoués chargés de fabriquer les future atteints du Syndrome de Stockholm par procuration.
Les cheikhs à l’assaut de l’auteur au discours qui menace leur rente !
Amin Zaoui a eu à expérimenter la question, cette semaine. Insulté de toute part, voire menacé, après un passage sur TSA. Pour une intervention pourtant claire, pourtant précise, pourtant enregistrée dans une vidéo.
Mais rien n’y fait. Le petit algérien, ne croit pas ce qu’il voit. Il ne peut croire que le cheikh. Ces cheikhs qui voient leurs rentes menacées par le discours un peu trop vrai d’un auteur qui risque d’ouvrir les yeux, d’élever les consciences et partant mettre à nue la supercherie !
Par Mouna Bekkis
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