Quelques jours après, Ouargla, voilà que les mêmes remettent ça à Tebessa.
Selon ce que rapporte le site Algerie Direct, ce mardi 31 juillet, un gala a été annulé par des Salafiste dans cette wilaya de l’Est, dans la Daira de Sidi Mokadem.
Coïncidence ?
Beaucoup y voient le Régime acculé par les frasques, les affaires, les dossiers, jouer sa dernière carte pour se maintenir : la terreur par les Salafistes.
« Nous ou eux » disait le Premier Ministre Ouyahia, lors des élections législatives 2017.
Le Salafisme : Cet outil entre les mains des puissants !
Problème : les salafistes n’ont toujours pas compris et ne comprendront sans doute jamais qu’ils sont utilisés. Le dindon de la farce.
Que la facilité que leur donne les autorités à annuler un concert ne tombe pas du ciel ou d’une quelconque puissance qu’ils auraient. Ils sont manipulés comme d’habitude par les tenants du pouvoir.
Comme ils l‘ont été dans les années 90, en Algérie. Comme ils l’ont été en Libye en Syrie, en Egypte, en Tunisie… Comme ils le sont toujours partout où des tenants du pouvoir locaux, régionaux ou internationaux, avaient intérêt à faire régner la terreur.
Dans les années 90, en Algérie, leur action dévastatrice n’aura durée que le temps de la liquidation de l’élite de gauche apparue, fin des années 80, qui gênait le pouvoir en Place.
Et ailleurs, en Syrie, leur « DEWLA ISLAMIYA » n’aura durée que le temps des négociations entre Américains et Russes sur le partage des richesses de la Région.
Ref : Algerie Direct
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